Ingénieurs, êtes-vous débordés de travail car vous ne savez pas dire non?

Ne pas savoir dire non à de nouvelles missions et se retrouver la tête sous l’eau.

C’est une problématique qui ressort chez certains de mes clients, des ingénieurs qui ne supportent plus le stress et la pression, qui n’ont plus envie de se faire « aspirer » par leur travail et ont décidé d’en changer pour retrouver du sens et s’épanouir.

📌 Lors de nos échanges, ils réalisent qu’ils se retrouvent débordés de travail du fait de leur difficulté à dire « non » :

• Quand on leur demande de réaliser des devis ou des réponses à des appels d’offre (« C’est « rapide », tu peux le faire ? »).

• Quand on leur attribue un nouveau (gros) projet qui vient d’être validé.

• Quand on leur demande de prendre le temps de former /accompagner un nouvel embauché.

📌 Il leur est difficile de dire non pour différentes raisons :

• Ils ont besoin de montrer qu’on peut compter sur eux et qu’ils sont compétents.

• Ils ne veulent pas décevoir.

• Ils sont consciencieux et investis : « C’est à faire et il faut bien que quelqu’un le fasse ! ».

Résultat : Ils croulent sous la masse de travail à gérer, sont stressés, rattrapent le retard en travaillant le soir ou le week-end.

Est-ce que vous vous reconnaissez ?

Voilà 3 clés que je travaille avec eux pour les aider à sortir de cette spirale et à apprendre à dire « non »

Clé 1 – Mettre en lumière les croyances qui les empêchent de dire « non » pour oser dire non

Cette clé consiste à décortiquer ce qui se cache derrière leur difficulté à dire non. Ca peut être des peurs, des croyances, des doutes.

C’est un travail éclairant qui leur permet de mieux comprendre la façon dont ils fonctionnent et de prendre de la hauteur par rapport à ces comportements car tant qu’ils ne seront pas au clair avec ces croyances qui les empêchent de dire « non », elles continueront d’influencer leur façon de réagir face aux autres, plus ou moins inconsciemment.

1ère étape : Prendre conscience pour comprendre.
2ème étape : Agir concrètement pour savoir dire non, sans culpabiliser.

Clé 2 – Apprendre à s’écouter pour respecter ses propres besoins et limites

Ne pas savoir dire « non », c’est ne pas savoir respecter ses propres limites.
Je travaille avec mes clients de manière à déprogrammer certains automatismes qui leur fait donner la priorité aux besoins et attentes des autres au point de négliger les leurs.

Pour certains, ça veut dire apprendre à s’écouter, à reconnaître ses besoins et limites et à oser les affirmer face aux autres avec respect et bienveillance.

Clé 3 – Adoucir son perfectionnisme pour relâcher la pression

Etre perfectionniste a ses vertus mais peut se retourner contre soi.

Quand on est consciencieux, on a tendance à vouloir (trop) bien faire mais à un moment donné, le rapport (temps passé + énergie dépensée) / qualité résultante n’est plus favorable.

L’idée est alors d’apprendre à déplacer le curseur et de produire un travail qui soit de qualité suffisante : on se met parfois un niveau d’exigence en terme de qualité bien supérieur à celui qui peut être attendu…

👉 Faire ce travail sur la base de ces trois clés est particulièrement puissant et libérateur. Il les aide à :

• Se libérer de schémas de fonctionnement qui les desservent aujourd’hui pour reprendre leur pouvoir sur leur vie.

• Se repositionner face aux autres et reconsidérer la place qu’ils accordent à leur travail d’une manière qui leur soit plus juste.

• Se respecter et donc se sentir mieux.

Et c’est là mon rôle de coach que de les aider à voir leurs angles morts, à changer de lunettes par rapport à des comportements qui se retournent contre eux et qu’ils veulent changer.

Ils accèdent ainsi à une véritable transformation qui rayonne à la fois sur les sphères professionnelle et personnelle.

Est-ce que vous aussi vous avez du mal à dire « non » et en subissez les conséquences au travail ? Si ça résonne pour vous, venez m’en parler.